Tristesse (2011)

Ni rouge, ni noir, ni sang, ni larme, ni patience, ni péché
D’un empire de volupté ne reste dans le souffle du brasier que des corps divisés
Ni orgueil, ni vanité, ni soupir, ni pire, ni flèche, ni coeur
Tristesse de l’étoile, du vent, de la pluie, du sang 
Corps sans visage, pierre sans âme, lettres sans nombres, fractions d’éclipses, soleils sans ombre,
Même des anges, il ne reste que poussière d’os et cendre.

[for the man that doesn’t exist]